Les boucheries Renmans présentes dans les magasins Aldi de Belgique.

Dans plus d'une centaine de Boucheries Renmans en Belgique, le D-CALC Jumbo est installé afin de protéger les installations d'eau potable.

Danone, Wals en Autriche.

Dans l'entreprise Danone, un D-CALC Jumbo protège un groupe de refroidissement.

Club de golf Mondsee en Autriche

Un D-CALC Jumbo installé sur l'arrivée d'eau protège les installations sanitaires.

Piscine récréative Aqualibi à Wavre, Belgique

 

Protection de l’installation sanitaire, eau chaude et froide des douches, restaurant et de la piscine.

Installation de plusieurs appareils de la gamme industrielle.

Handball Club de Herstal, Ville de Liège, Belgique

Protection des installations sanitaires avec un D-CALC P-52.

Ville de Huy, Belgique

Protection de la fontaine Saint Germain à Huy, avec un D-CALC Jumbo placé après la pompe.

Ecole située à St-Gilles en Belgique.

Protection des installations  sanitaires avec 1 D-CALC P-52 et 2 D-CALC -P-30 sur les boucles de circulation ECS.

Ecole fondamentale de Blocry, Ottignies, Belgique

Protection des installations sanitaires avec un D-CALC P-30 « CNA ».

Clinique St-Amé, St-Maurice, Suisse

Protection par un D-CALC Plus de l’échangeur tubulaire produisant de l’eau surchauffée à 180°C.

Hôtel 1815

Waterloo, Belgique

Installation d’un D-CALC P-52 sur l’arrivée d’eau froide de l’hôtel.

Immeuble résidentiel de 6 logements à Genval, Belgique

 

Placement d’un D-CALC P-30 sur l’alimentation principale d’eau froide avant les six compteurs d’eau. Chauffage ECS individuel dans chaque appartement.

Maison unifamiliale à Nandrin, Belgique.

Protection avec un D-CALC Plus. Ouverture du ballon d’eau chaude après 2 ans et demi. Le dépôt calcaire est friable et se laisse facilement enlever.

Techspace Aero Milmort, Liège, Belgique

 

Maintenant appelée Safran Aero Boosters, cette entreprise conçoit, développe et produit des sous ensembles, des équipements et des bancs d'essais pour les moteurs aéronautiques et spatiaux.

Protection d’un lave-vaisselle industriel, d’un conditionnement d’air avec chaque fois un 

D-CALC Jumbo et protection de boilers avec 2 D-CALC P-52.

Industrie textile Nordifa

 

Protection des installations sanitaires avec un D-CALC P-52.

Notre entreprise est spécialisée dans le développement et la fabrication d'appareils pour le traitement de l'eau depuis 1985.

 

Plus précisément le 6 mars 1985, nous avons déposé un brevet en première mondiale pour un appareil de traitement physique anti-incrustations calcaires électronique.

  

Ceci nous donnant par la même occasion une notoriété incontestable dans le domaine.

  

De nombreux tests en laboratoires de renommée, indépendants et internationaux attestent l'efficacité du procédé.

Noordelijke Hogeschool Leeuwarden R&D Life Sciences, Pay-Bas (2007) Traduction des conclusions d’un test effectué en université.

Deux installations égales ont été construites, l'une avec et l'autre sans le dispositif D-CALC. Il a été démontré que les deux installations ne s'influencent pas mutuellement. La conception comprenait la mesure des ions calcium et magnésium ainsi que la dureté totale à des intervalles de un, deux, quatre et huit semaines.

 

Conclusions:

L'utilisation quotidienne de l'eau dans un ménage a été imitée dans l'installation. Sous l'influence du dispositif D-CALC, le calcaire précipite partiellement en petites particules qui peuvent ensuite être facilement drainées par l'eau qui coule. Dans l'eau stagnante, le calcaire n'est pratiquement pas dur mais un résidu considérablement plus mou qui peut facilement être enlevé avec un chiffon ou une brosse de nettoyage.

 

En effet, ce dispositif fonctionne comme un système de conditionnement de calcaire lors de l'alimentation de la conduite d'eau. Les minéraux qui fournissent l'entartrage tels que le carbonate de calcium, le sulfate de calcium, l'hydroxyde de magnésium, le phosphate de calcium et les silicates ne sont pas éliminés par ce traitement physique mais conservés en solution et en suspension. Autrement dit, ils ne créent pas des cristaux durs. En fait, il y a un changement dans la structure cristalline. Cependant, une condition préalable à ceci est qu'un écoulement d'eau traverse périodiquement la canalisation traitée, une situation qui se produit dans chaque foyer.

 

En résumé: les mesures ont montré que dans le système d'eau traité avec l'installation 

D-CALC d'autres cristaux sont formés que dans l'installation non traitée. Si au cours des 4 mois de mesure, du calcaire a été créé dans les deux installations, il a été plus facile de l'enlever dans l'installation D-CALC que dans l'installation non traitée.

Faculté des Sciences agronomiques de l'Etat, Gembloux, Belgique (1985)

Cet essai en laboratoire fût le premier réalisé avec un appareil D-CALC.

But de l'essai: vérifier l'efficacité.

Résultat de l'essai en voici un extrait: "Là où un mouvement d'eau est assuré (pendant vidange et remplissage) le calcaire n'a pratiquement pas adhéré à la paroi du becher.

Une poudre peu adhérente s'est déposée sur le fond ainsi qu'au niveau supérieur où l'eau s'évapore. Cette couche de calcaire reste friable et se détache facilement."

Analyse réalisée par l’université du Maine, Le Mans-France.

Photos prises au microscope polarisant réalisées sur des prélèvements avant et  après, sur une installation traitée par D-CALC. Il ressort de l’examen que l’appareil a très nettement morcelé le dépôt de calcaire.

 

Au fur et à mesure des années, divers tests complémentaires ont été réalisés:

 

10 novembre 1987, analyse effectuée par absorption atomique d'une eau traitée et d'une eau non traitée qui permet de dire que l'effet de D-CALC ne dégrade pas les canalisations.

 

10 juillet 1989, analyses effectuées sur l'eau traitée par D-CALC montrent qu'il n'y a pas de modifications chimiques de l'eau traitée (égalité des taux de calcium, de magnésium...)

 

16 janvier 1989, une série d'analyses effectuées par spectroscopie d'absorption atomique sur de l'eau traitée par le procédé ont montré que l'appareil utilisé n'arrachait pas de particules de la tuyauterie pouvant donner naissance à une pollution de l'eau traitée.

 

7 mai 1991, désentartrage par le procédé.

KUL, Université catholique de Louvain, Belgique (6 Mai 1986)

Solem, Société et Laboratoire d'études maintenance et d'expertises, Suisse (25 Août 1987)

ICC, Ingénieur chimistes-conseils SA, Suisse (27 Juillet 1992)

TÜV Bavière, Allemagne 

Obtention de l’agrégation de conformité.

Rempli les exigences pour la sécurité des appareillages selon la loi.

AIB Vinçotte, organisme de contrôle agréé. 

Contrôle de conformité électrique selon la norme EN 60335-1

C.C.R.M, Centre de Contrôle des Radiocommunications des Services Mobiles 

Test en situation d’utilisation normale du D-CALC sur un tube en acier galvanisé rempli d’eau.

Conclusion: D-CALC respecte les limites relatives aux perturbations radioélectriques prévues par la norme EN 55014.